lundi 20 juillet 2009

Lima, samedi 4 juillet

Je viens de lire quelques pages du livre de Pontalis intitulées «Londres à Venise». J’en retiens cette phrase qui donne au livre son titre : « D’où nous vient l’amour des commencements sinon du commencement de l’amour ? De celui qui sera sans suite et peut-être par là sans fin. »
Oui, le diable sépare ceux qui s’aiment… Que faire d’une histoire qui n’en finit pas de s’estomper pour achever de mourir dans le non-sens ? Il est probable qu’elle ne finira tout à fait qu’au jour de ma mort.

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